Historique de la controverse

Fusion des trois grands mouvements familiaux non syndicalistes en une puissante fédération : la Fédération des Familles de France.

Dès l'apparition des jeux vidéo, Famille de France militera contre leur violence. De nombreux procès seront intentés par cette organisation contre des jeux jugés trop violents, pour les retirer de la vente en France. Jusqu'à présent ils n'ont pas été entendus par la justice, mais ils gardent une forte influence dans le mouvement contre les jeux vidéos.

Reconnu violent par les consommateurs. C'est un jeu de voitures qui offre la possibilité d'écraser les passants (et qui pousse même à le faire, puisque cela rapporte des points dans le jeu (concept repris en 1997 par Carmageddon)). De nombreuses voix s'élèvent et le jeu est rapidement retiré du marché.

Premier jeu d'un type très critiqué : Wolfenstein 3D, un jeu en vue subjective, où le but est de tuer des ennemis pour progresser dans le jeu. (nommé "FPS", en anglais : First Person Shooter)

Le "FPS", genre si décrié jusqu'à présent (Wolfenstein 3D, mais aussi les jeux suivants du même développeur Doom et Doom 2), est prouvé comme avoir certaines qualités : Okagaki et Frensch montrent que ce type de jeu développe trois qualités : la perception spatiale, la rotation mentale et la visualisation mentale. Les jeux vidéos n'auraient ainsi pas que des aspects négatifs sur le joueur.

Deux jeunes adolescents ouvrent le feu sur des camarades de classe avant de se suicider.

Les jeux vidéos sont incriminés, en particulier Doom 2. Ce jeu avait été lapidé par la presse à sa sortie en 1994. En effet pour finir un niveau, le joueur devait tirer sur des enfants pendus à une corde. Même si la vision de la presse est faussée (les enfants représentaient des « commander keen », héros d’un jeu vidéo du même développeur : ce n'était donc qu'une référence à cet autre jeu), la violence dans les jeux vidéos atteint des sommets.

Finalement le procès donnera raison à l'éditeur de jeu, qui ne pouvait pas prévoir que cela allait provoquer un tel massacre, et l'a donc acquitté.

Depuis quelques années Marc Valleur reprend le centre de Marmottan, où il se spécialise dans les traitements contre les toxicomanies, y compris les "drogués" des jeux. Son centre est le centre en France où les joueurs dépendants des jeux vidéos peuvent être traités.

Ce centre est crée en Corée du Sud, où le phénomène est le plus prononcé (25000 cybercafés ; parmi 5500 employés de bureau observés, 13% montraient un usage addictif de l'internet, l'utilisant cinq heures ou plus chaque jour à des fins autres que professionnelles, 48% des 2100 étudiants observés montraient une pratique addictive dans le cadre du dialogue en direct -chat- ou du jeu en réseau).

Un coréen du sud est mort d’avoir trop joué aux jeux vidéos. Resté dans son jeu "online" plus de 86h d'affilée, oubliant de se nourrir, il décède d'une crise cardiaque. A cette date, plus de 6% des coréens du Sud sont considérés comme dépendants aux jeux vidéos.

Les parents accusent le jeu d'être à l'origine des actes de leurs enfants. Ces derniers avaient tiré sur des automobilistes avec des armes à feu, et avaient confié à la police s'être inspirés du jeu GTA3.