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L'Afrique du Sud a été le premier pays d'Afrique à accepter les OGM, il y a plus de dix ans. C'est même un des premiers pays au monde à cultiver les OGM.
C'est pour cette raison qu'il est intéressant d'étudier le cas du coton Bt dans ce pays, où la législation a tardé à exister puis à être mise en œuvre, et où la culture OGM est chose habituelle depuis un peu plus de dix ans.
Les principales sources de conflit sont :
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un gouvernement qui a milité aux côtés de l'industrie des biotechnologies pour faire de la publicité aux graines OGM
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une répartition inégale de l'eau et des terres
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une distribution déséquilibrée des semences (les OGM gagnent du terrain sur les variétés traditionnelles)
La notice gouvernementale concernant l’étiquetage des produits susceptibles de provenir d’OGM est très stricte. Le consommateur est systématiquement informé des modifications qu’a subies ou non le produit qu’il souhaite acheter.
Différents actes et notices gouvernementales ont eu depuis 1997 le souci de régir autant que possible la distribution de permis pour permettre la diffusion des OGM. Ces derniers, jugé peu satisfaisants par les écologistes, semblent tout de même dénoter d’importants efforts de la part du gouvernement pour ne pas négliger les risques potentiels.
| Conclusion |