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Vivre avec un cancer

Pour les individus qui font le choix de ne pas se faire traiter, ou pour ceux pour lesquels l'attente sous surveillance est préférable, il existe des moyens de ralentir la progression du cancer de la prostate, notamment par une alimentation particulière :

Des associations de patients, comme l'ANAMACAP en particulier, informent les malades des aliments à éviter ou au contraire recommandés dans le traitement du cancer. Ils mettent également à leur disposition des menus anti-oxydants.

Cependant, ces mesures préventives n'empêchent pas le cancer d'évoluer. Ses symptômes se manifestent alors progressivement. Vivre avec un cancer implique de subir ses effets au quotidien.

Voici comment l'Académie Nationale de Médecine résume les inconvénients de vivre sans traiter son cancer :

"L'évolution naturelle du cancer de la prostate se fait de manière inéluctable vers l'extension locale avec les troubles de la miction qui s'ensuivent et la dissémination métastatique, surtout lymphatique et osseuse. Cette évolution naturelle conduit donc à des troubles pénibles affectant de manière évidente la qualité de vie. Ce stade ultime a d'autant plus de chances de survenir actuellement à cause de l'augmentation générale de la longévité. On peut estimer qu'un patient atteint de cancer prostatique localisé non traité a un risque élevé de décéder de ce cancer dés lors qu'il a une espérance de vie supérieure à 10 ans. En cas d'espérance de vie moindre, le risque de décès d'une autre cause est plus grand que celui dû au cancer. On a calculé que le nombre d'années perdues par un patient atteint de cancer localisé était de 3,8 à 5,2 ans par rapport à un individu sain de même âge."

Par ailleurs :

"on constate que [...] l'obstruction des voies urinaires survient plus fréquemment chez les malades non traités"



Bilan

Il apparaît donc que si l'évolution du cancer de la prostate n'est pas suffisamment ralentie par rapport à l'espérance de vie du patient, celui-ci peut subir des effets peut-être tout autant, voire plus, pénibles que s'il avait choisi l'option du traitement...