Journalistes

EN BREF
Sur le plan des médias autres qu’internet, la controverse est au point mort. La sortie d’un livre est l’occasion de réanimer quelques rumeurs, mais guère plus. Le manque d’études menées sur le sujet se ressent cruellement, ce qui limite l’argumentation des journalistes, qui ne cherchent finalement qu’à agiter l’opinion publique. D’une manière générale, les médias s’accordent à dire que le risque de contamination due à l’utilisation de déodorants et antitranspirants à base d’aluminium est non négligeable.

Les médias constituent un acteur incontournable de la controverse. On entend ici par média la presse écrite, la radio et la télévision. L’internet a, quant à lui, une place très particulière dans la controverse, d’où le choix de le traiter séparément. D’une manière générale, les journalistes clament la dangerosité des déodorants et antitranspirants à base de sels d’aluminium, citant parfois des études menées à l’échelle nationale et internationale avec plus ou moins de rigueur.

Le média le plus engagé est certainement la presse écrite, notamment la presse nationale. La controverse est abordée dans de petits articles de journaux quotidiens, soit récents (20 minutes (02/11), le Parisien (02/11)), soit plus anciens (Libération (05/04)). Il en ressort généralement après trois mois maximum de silence sur le sujet. Le journal le plus actif est incontestablement 20 minutes. En moins de deux ans, de 2010 à aujourd’hui, plus de quatre articles y ont ainsi été publiés.

« L’aluminium, un métal qui plombe la santé » par Ingrid Gallou paru en septembre 2010 dans 20 minutes

De petits reportages télévisés sont également diffusés à la télévision de temps à autre. Des reportages des journaux de France 2 et de France 3 se sont ainsi emparés de ce thème à plusieurs reprises. Par ailleurs, dans un numéro de Envoyé Spécial datant 2005, consacré à l’ensemble des cosmétiques, la controverse a été soulevée, comme vous pourrez le constater ci-dessous. Elle y est abordée par l’intermédiaire de Philippa Darbre à partir de 9’30 environ.

D’une façon générale, les journalistes font avancer la controverse en soulevant les interrogations de l’opinion publique.

 

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