Imprimer

Entretien avec M.ROLINA

1) Nous avons eu l’occasion de parler avec M. minière la semaine dernière, qui nous disait qu’il y avait de contraintes de dimensionnement des centrales. Par exemple en alsace dans le cas de Fessenheim, on a cherché le séisme le plus intense dans les 1000 ans

A quel moment cherche-t-on à calculer des probabilités d’occurrence d’accident ? De quelle manière est-ce pris en compte dans la conception et le suivi de la centrale ? 

 

Réponse

 

2) Justement,  ce qui est intéressant c’est qu’au Japon il y a pas mal de remise en question du fonctionnement institutionnel , il y a beaucoup d’articles qui  soulignent le fait que non seulement il y a eu des problèmes techniques mais surtout  des problèmes dans la gestion par la Tepco, qui était trop puissante par rapport aux autorités de sûreté. 

 

Réponse

 

3) Nous avions vu que c’était EDF qui réalisait elle même les stress test sur ses propres centrales nucléaires. Est-il normal que ce soit l’exploitant qui soit chargé de dire que sa centrale est résistante ou non ? 

 

Réponse

 

4) Intéressons-nous maintenant au calcul de la probabilité d’occurrence d’un accident nucléaire. Malgré les nombreux documents relatifs à ce sujet, nous ne sommes pas parvenu à comprendre la manière dont ceux-ci étaient réalisés. Ces calculs et résultats sont-ils controversés ? 

 

Réponse

 

5) Pensez-vous que le secteur nucléaire soufre d’un manque de transparence ? Les riverains de centrales pensent souvent qu’on leur cache des choses. 

 

Réponse

 

6) Quelle est la part de facteur humain dans l’évaluation du risque nucléaire ? 

 

Réponse

 

7) On sait qu’aujourd’hui le contrôle des centrales est de plus en plus automatisé. Cela réduit donc les risques d’erreurs humaine. Mais doit-on pour autant faire confiance à l’automatisation des systèmes ? 

 

Réponse

 

8) L’expertise est-elle suffisamment apolitique pour pouvoir être considérée comme neutre ? 

 

Réponse