Le Groupe National Loup : composition et implication

Les membres et leurs missions

  • C’est une instance informelle censée permettre la médiation et la  discussion entre les différents acteurs. Une autre de ses missions est d’assurer le suivi des protocoles annuels du Plan Loup en vigueur.

 

A la recherche du compromis…

  • Il est important de faire remarquer que ce groupe garde comme vocation la concertation et non la prise de décision. Si des concessions entre parties peuvent être faites, la situation n’est pas acceptée par tous en fin de réunion. Christophe Castaner, président du GNL cité dans un article basé sur une dépêche de l’AFP, parlait «d’accord unanime accepté par tous » en rapport au nombre maximal de loup pouvant être abattus. Les associations de défense des prédateurs affirment dans leur communiqué avoir au contraire « pris acte (sans approuver) le doublement de plafond ». Dans un entretien télephonique reporté par le journaliste Fabrice Nicolino dans sa réaction sur la buvette des alpages, le président de FERUS explique que « Le GNL est consultatif, et l’Etat y annonce des décisions, sans vote » .

 

Un déséquilibre dans la composition?

  • Comme le montre la composition du dernier Groupe National Loup, disponible dans un communiqué de presse, les associations en lien avec pastoralisme semblent plus représentées que celles défendant le prédateur. Interrogé au sujet de la composition du Groupe, Bertrand Sicard, vice-président de FERUS siégeant au Groupe National Loup, explique dans que, durant les discussions, pour 3 représentants des protecteurs du loup il y 10 à 15 défenseurs du pastoralisme. 

 

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