Enjeux connexes de la controverse


Les psychologues

De nombreux psychologues tentent d’expliquer les impacts des jeux vidéo sur des enfants mais ils parlent avec un vocabulaire et des notions que ne comprennent pas forcément les autres acteurs. Un exemple :

Et on ne diagnostique pas toujours l’enfant qui est distrait de l’intérieur. Parmi les autres symptômes, on observe une atrophie de l’imaginaire qui se manifeste notamment par l’alexithymie. L’alexithymie est une menace pour nos sociétés comme le mentionne Dufresne. L’homme n’est-il pas condamné à vivre ce qu’il ne peut pas imaginer disait Thomas More ?

Winnicott a indiqué les difficultés inhérentes à cette atrophie de l’imaginaire et cette incapacité de jouer, notamment en parlant de la psychopathologie dans l’aire des phénomènes transitionnels et l’application clinique dans le cas de l’enfant de 7 ans et de la ficelle

D’autres sont encore plus excentrés du débat, par exemple ils indiquent les thérapies qu’ils ont mis au point grâce aux jeux vidéo. Ils ne rencontrent donc pas les autres acteurs frontalement avec leurs arguments car ces psychologues ne se soucient pas vraiment des jeux vidéo pour le grand public mais ils cherchent à soigner certains patients avec certains jeux spécifiques. On voit donc que leur enjeu n’est pas exactement le même et qu’ils n’ont pas pour but de défendre ou de combattre les cotés négatifs des jeux vidéo.

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