Prévention, sensibilisation et loi en vigueur

 

Certaines entreprises ont décidé de réduire leur accès à internet voire d’interdire l’accès aux réseaux sociaux. « En Belgique, 20% des salariés n’ont pas le droit d'utiliser Facebook ou Twitter sur leur lieu de travail. Aux États-Unis, en Amérique Latine ou en Australie, les entreprises interdisent totalement à leur personnel d'accéder aux réseaux sociaux. » (d’après l’article: Reseaux sociaux, le nouveau repere des cybercriminels) En France, la situation est différente: la CNIL (Commission National de l’Informatique et des Libertés) est chargée de veiller à ce que l’informatique soit au service du citoyen et qu’elle ne porte atteinte ni à l’identité humaine, ni aux droits de l’homme, ni à la vie privée, ni aux libertés individuelles ou publiques.

 

Cependant, l’utilisateur n’est pas toujours conscient de la convention de droits qu’il signe en créant un compte dans un réseau social ou un autre. Serait-ce un manque de communication dû au réseau social en question ou de connaissances de la part de l’utilisateur lambda.

 

Aujourd’hui, il existe des groupes sur les réseaux sociaux même créés par des particuliers ou par des sociétés de protection qui participent aux campagnes de sensibilisation d’internautes non seulement pour détecter le spam ou le différencier d’un message banal, mais aussi pour recommander les meilleures façons de se protéger et des antispams à utiliser.

Une exemple de groupe  sur facebook : 

www.facebook.com/notes/les-coolisses-discool/attention-aux-spamms-/261133273954987

 

« En Belgique, 20% des salariés n’ont pas le droit d'utiliser Facebook ou Twitter sur leur lieu de travail. Aux États-Unis, en Amérique Latine ou en Australie, les entreprises interdisent totalement à leur personnel d'accéder aux réseaux sociaux. »

Réseaux sociaux, le nouveau repère des cybercriminels

 

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