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La NASA

Le nouveau président élu en 2000 s’appelle Georges Bush. Sous son impulsion, les budgets de la défense et de la NASA, dirigée par le dynamique Michael Griffith, vont se remettre à croître. Et des anciens projets nucléaires ressortent des cartons, comme Orion ou Nerva. En 2001, Le JIMO est lancé. Une section de la NASA, le JPL (Joint Propulsion Laboratory) croit à nouveau à une possibilité de propulseurs nucléaires, notamment avec des propulseurs ultra-modernes à plasma par exemple.
Le discours de Bush du 14 janvier 2004, Vision for Space Exploration, relance une nouvelle vague d’exploration : le projet Constellation. Un nouveau projet Orion a ainsi été lancé dans ce cadre, c’est Lockheed-Martin qui a remporté ce contrat de 5 milliards de dollars. Il s’agit de créer un véhicule d’exploration habitable, le CEV. En effet Bush veut installer des bases sur la lune, et s’en servir pour établir des lancements vers Mars. Et là, des propulseurs nucléaires sont à l’étude pour remplir cette mission. L’utilisation d’un moteur fonctionnant en continu pourrait diviser par 3 le temps de trajet, ce qui rendrait beaucoup moins irréalisable la conquête de Mars.
1 milliard de dollars a donc été débloqué au JPL pour la recherche sur les nouveau types de propulseurs. La grande inconnue pour les scientifiques de la NASA est la tolérance de l’organisme à ce type de propulsion.



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